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11 au 5 octobre 2008


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Denise Bombardier analyse la campagne électorale

11 octobre 2008, 10:19

Dans un article intitulé L'attrait du minoritaire publié ce matin dans Le Devoir, Denise Bombardier prévoit qu'à la suite des élections, «Il est tout à fait possible que mardi prochain l'on se retrouve Gros-Jean comme devant».

Madame Bombardier énumère les causes de ce résultat.

Elle affirme d'abord que cela sera d'abord dû «[À] l'éternel blocage du plus détendu des partis politiques canadiens [Le Bloc], celui qui jamais n'assumera la responsabilité de l'exercice du pouvoir.»

Plus loin elle écrit «[Que] ce sera aussi à cause des bourdes successives du Parti conservateur, de la froideur distante et probablement apparente de son chef face à la crise mondiale.»

Au sujet de Stéphane Dion, elle se demande «quel attrait aurait un gouvernement minoritaire dirigé par Stéphane Dion […], celui qui se vit en futur leader du Canada a réussi à accéder à la tête du Parti libéral par défaut, en quelque sorte, se faufilant tout en vert entre deux favoris.»

Elle termine par la question suivante : «Entre le non aux référendums passés et le non des dernières décennies au Canada, comment définir l'identité québécoise à l'avenir? Minoritaire, bruyante, rebelle, surfant sur la patience congénitale du Canada anglais.»

L'article est accessible à tous sur Internet, abonnés ou non-abonnés.

Note : Dans le même numéro du journal, vous pouvez lire l'excellent article de Manon Corneillier Revue de presse - Autopsie d'une campagne.

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Hier, c'étaient les meilleurs; aujourd'hui, ils sont (presque) nuls

9 octobre 2008, 9:12

Depuis les premiers jours de la présente campagne électorale, presque tous les éditorialistes, chroniqueurs, blogueurs vantaient la mérite des Conservateurs et les désignaient comme étant les plus aptes à diriger un gouvernement (de préférence majoritaire). C'était l'époque où les Conservateur se voyaient accorder 41% des votes par les sondages, loin devant les Libéraux.

Puis les sondages ont commencé à montre que les Conservateurs glissaient, voire se rapprochaient des Libéraux. En même temps, Stephen Harper faisait connaître sa plateforme électorale, en réponse à plusieurs demandes répétées. C'était une coquille vide. Les Conservateurs n'avaient rien à offrir et, qui plus est, se trouvaient avec des coffres vides en cette période de tourmente financière. Tout les coussins avaient disparus dans des baisses d'impôt, dans des crédits pour les enfants de six ans et mois et dans de généreuses subventions aux pétrolières (albertaines) milliardaires.

Le discours des éditorialistes, des chroniqueurs, des blogueurs ont changé. Les Conservateurs ne sont pas prêts à gouverner. Chantal Hébert, dans son blogue écrivait même hier: «Le problème, c'est que le chef conservateur accuse un déficit d'empathie qu'il ne semble pas bien équipé pour combler. Encore hier, alors que le message du jour devait être que les conservateurs étaient les mieux placés pour aider les Canadiens à traverser une tourmente économique, Stephen Harper n'a pu s'empêcher de discourir sur les bonnes aubaines que la situation financière actuelle offre aux investisseurs.»

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Brave Julie Couillard

6 octobre 2008, 12:43

J'ai terminé hier la lecture de Mon histoire de Julie Couillard*. Essentiellement, je peux dire que la biographie se divise en deux parties : l'avant et l'après Maxime Bernier.

Dans la première partie, Julie Couillard raconte son existence de sa naissance à la fin des années 1960 dans un milieu modeste de la banlieue montréalaise jusqu'à sa relation amoureuse avec Maxime Bernier.

Le moins que l'on puisse dire est que Julie Couillard a connu un destin hors du commun. Tel qu'écrit en couverture 4 du livre, dans cette autobiographie profondément humaine, elle répond aux multiples spéculations, demi-vérités et mensonges qui ont été écrits sur son compte et raconte sans fard son parcours, ses réussites et es revers de fortune.

Puis arrive le récit de son séjour de plusieurs mois dans les arcanes du pouvoir en tant que conjointe du ministre canadien des Affaires étrangères Maxime Bernier.

Tout le livre est fort crédible. Et entre la version que Maxime Bernier donne de certains éléments de sa relation avec Julie Couillard, entre autres ses explications concernant les fameux documents officiels «oubliés» et la version que donne Julie Couillard, je crois celle de cette dernière. Et tant pis pour Maxime Bernier … et son chef Stephen Harper.

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*Couillard, Julie, Mon histoire, Montréal, Les Éditions de l'homme, 2008, 328 pages.

Commentaires

6 octobre 2008, 22:14

Julie Couillard

Moi je viens de commencer la lecture de son livre et j'ai bien aimé son passage à l'émission Tout le monde en parle. Elle n'est pas une conne, mais son ex lui est vraiment un con.

Joël Lavoie
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