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[...] Cloé va se replacer où son proprio l’avait mis, il a presque cinq ans bientôt, soit sur le cadre de la fenêtre. Le proprio entre, en tenant ce clou entre ses doigts. Il l’examine en tous sens. - Il est encore bon. Il le dépose doucement à côté de celui qu’il a probablement oublié. Ensuite, il ramasse comme à l’accoutumé, son coffre à outils, et repart en fermant mal la porte. Cloé s’exclame : - Je vais geler pendant encore combien de temps? Il va voir par la vitre dans quelle direction se dirige son proprio. - S’il a amené son coffre en bois, en un samedi matin, c’est qu’il a des idées de construction. Cloé donne un coup d’œil sur le nouveau venu qui roupille. [...] |
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Extrait de Un clou
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